Juin 2023

Je vous ai parlé de mon escapade en Bretagne avec mon amie Françoise, séjour que nous avons prolongé par une courte virée en Charente-Maritime.

Pour cette brève escapade, nous avions décidé de nous poser à La Rochelle, et, de là, visiter la ville et ses environs. Un court séjour de 7 journées fut pour moi (Françoise connaissait déjà) l'occasion de poursuivre la découverte de cette belle région. Pour avoir déjà séjourné précédemment sur l'île de Ré, nous avons préféré nous promener dans des endroits pas encore visités, bien que nous nous sommes tout de même accordées une demi-journée plage sur cette belle île, située à proximité de La Rochelle.

Voici quelques souvenirs en images de cette belle évasion. Beaucoup d'endroits sont encore à visiter. Pour ma part, j'ai décidé d'y retourner, dans l'espoir d'un séjour suffisamment long pour parcourir la région au rythme de mes envies, de mes rêveries et contemplations.

La Rochelle

Cité millénaire, surnommée la "Ville blanche" (surnom attribué par les Anglais), ou bien encore "Porte Océane" pour ses trois ports, dont le Vieux-Port, La Rochelle possède de grands trésors architecturaux. Ses fortifications, avec les tours de la Lanterne, de la Chaîne et de Saint-Nicolas, constituent avec l'hôtel de ville et l'hyper centre, le cœur historique de la ville. La vieille ville abrite des maisons médiévales à colombages et une architecture Renaissance, avec ses rues à arcades datant du 17ème siècle.

Au fur et à mesure de l'avancée du séjour, il m'a semblé que vivre dans cette belle cité peut donner l'impression d'être en permanence en vacances. C'est de plus une ville jeune et dynamique et sa périphérie est en pleine métamorphose.

Le Vieux-Port de La Rochelle

Les magnifiques halles du 19ème siècle, un lieu de vie et de rendez-vous pour les rochelais.

Non loin du marché central de la Rochelle, il existait jadis le Café Molière. L’endroit amenait de la joie à l’entrée des arcades en organisant des concerts. Il a malheureusement été détruit dans les années 1886-1887. Mais sa trace reste bien présente sur le pan de mur qui regarde la jolie fontaine du Pilori qui date de 1722.

Maison ancienne typique à colombages

Tour de la Grosse Horloge

A l'époque de l'enceinte primitive dite de Guillaume X, la Grosse Horloge est une ancienne porte de ville du 12ème siècle. La porte, qui séparait le port de la cité, est devenue inutile avec l'agrandissement de la ville. En 1478, on la surmonta d'un clocher octogonal, coiffé d'un campanile abritant la cloche de l'horloge.

La Tour de la Lanterne, vestige des fortifications médiévales qui protégeaient le port.

Elle est également connue sous les noms de Tour du Garrot, Tour des Prêtres et Tour des Quatre Sergents. La Tour de la Lanterne a été classée monument historique en 1879, tout comme les autres tours médiévales de la ville.

La Tour Saint-Nicolas

Tour imposante de style forteresse construite au 14ème siècle, avec vue sur le port et la ville. La légende raconte que la tour Saint-Nicolas a été construite par la fée Mélusine. Alors qu’elle volait au-dessus de La Rochelle avec les pierres d’un château détruit, son tablier se déchira. Les pierres en tombant les unes sur les autres auraient formé la tour Saint-Nicolas. En réalité, les dernières recherches archéologiques menées indiquent un début des travaux de construction vers 1340. 

La construction de la tour Saint-Nicolas est achevée en 1376 et porte alors le nom de "tour de la Chayenne" (chaîne) ou grosse tour de la Chaîne. Depuis, son air penché la rend unique, comme celle de Pise ! Au 15ème siècle, le nom de la tour est modifié en hommage à Saint-Nicolas, protecteur des marins et des gens de mer.

Maison de marchand, de pouvoir ou d’armateur, les demeures rochelaises sont reconnaissables à leur blason inscrit au-dessus de leur porte d'entrée principale.

L'île d'Oléron

Pour notre visite des environs de La Rochelle, nous avons loué une voiture pour trois jours afin de nous déplacer à notre aise.

Notre première journée fut consacrée à une balade sur l'île d'Oléron. Sur cette île encore sauvage, la nature côtoie les cabanes colorées des ostréiculteurs, et l’on prend plaisir à déambuler dans les petits villages typiques oléronais.

Nous avons commencé notre balade par la petite ville de Château d'Oléron qui offre une très grande richesse patrimoniale et historique, dont sa citadelle. Ce site est un incontournable pour qui est de passage sur l’île d’Oléron. Richelieu ordonna sa construction qui débuta en 1630 sur les vestiges de l’ancien château médiéval. La citadelle et la ville furent achevées en 1700 sous les ordres de Vauban.

Après notre visite de la citadelle, nous avons rejoint le port ostréicole de Château d'Oléron où de nombreuses cabanes, le plus souvent peintes avec les fond de peinture des bateaux, ont été rénovées et reconverties en atelier d’artistes et artisans.

En quittant Château d'Oléron, nous avons pris la route pour le phare de Chassiron. Trente kilomètres de petites routes de campagne séparent les deux sites. 

Sur ordre de Colbert, la première tour du phare de Chassiron, de 33 mètres de haut, a été construite, en 1685. C'est le second feu construit sur les côtes française après celui de Cordouan, construit en 1355.

Avant 1926, le phare de Chassiron était tout blanc. À partir de cette date, trois bandes noires ont été peintes afin de mieux le différencier du phare des Baleines qui se trouve sur l'île de Ré.

Avant de quitter le phare, nous nous sommes promenées dans le jardin remarquable contemporain, créé en 2007, qui représente la forme de rose des vents.

Départ pour le port de La Cotinière qui se trouve à 20 km de route du phare de Chassiron, près de Saint-Pierre d'Oléron.

Le port de La Cotinière est le premier port de pêche artisanale de Nouvelle-Aquitaine, et se classe 7ème rang au niveau national. Près de 5000 tonnes de poissons et crustacés circulent chaque année au sein de sa Criée, avec environ quelques 90 espèces représentées. 

Le port de La Cotinière mérite que l'on s'y arrête. D'ailleurs, lors de notre passage, nous avons eu le plaisir d'assister à des démonstrations de sauvetage par les "Perles noires", une race de chiens noirs le plus souvent associés au terre-neuve, mais l'association de sauvetage regroupe également des labradors, golden retrievers, et leonbergs. 

La démonstration nous a fait découvrir comment ces chiens viennent au secours des personnes  en train de se noyer, ou comment ils vont chercher un bateau à la dérive, apporter une bouée à un baigneur en détresse, etc.
D'une puissance musculaire impressionnante, ces chiens de sauvetage ont la particularité (notamment le terre-neuve) d'avoir un sous-poil tellement dense qu'il gonfle avec l'eau et lui sert de flotteur : un véritable insubmersible. 

Parmi les premiers réflexes à acquérir, il lui faut apprendre à gérer la pression de ses mâchoires, lorsqu'il ramène un baigneur en perdition en le tirant par le bras.

Jeune terre-neuve entrain de se sécher au soleil. Le jeune chien ne commence à travailler dans l'eau qu'au bout de plusieurs mois. 

En ce qui me concerne, j'ai eu beaucoup d'émotion à regarder cette démonstration, et je n'ai pas hésité à aller féliciter ces gros toutous d'amour.

Après cette belle détente, il nous a fallu malheureusement penser à repartir vers le continent ! La journée a passé trop vite ; il faut dire que nous avons pris notre temps à chaque étape de cette jolie journée-découverte. De nombreux endroits, notés sur notre liste de sites à découvrir, n'ont pu être explorés. L'île d'Oléron ne se visitant pas en une journée, notre frustration s'est dissipée rapidement, car, en ce qui me concerne, j'organiserai à nouveau une virée sur l'île lors d'une de mes prochaines escapades en Charente-Maritime.

Fort Boyard n'étant pas trop loin de La Cotinière (environ 12 km en voiture), nous avons fait un dernier arrêt sur l'immense plage de Boyardville. Nous avons pu y apercevoir au loin ce monument-vedette des jeux télévisés. Des croisières commentées sont organisées pour visiter Fort Boyard au départ du Vieux-Port de La Rochelle.

Pour l'histoire, il faut noter que le fort Boyard fait partie intégrante de l'Arsenal maritime de Rochefort qui s'étend tout au long de l'estuaire de la Charente. Depuis 1989, il appartient au département de la Charente-Maritime.

Rochefort, ses environs, et la citadelle de Brouage

Rochefort est une ville de province paisible et intéressante qui cache de nombreux trésors. Là aussi, il faut s'accorder plusieurs journées pour visiter cette ville et sa région. Notre programme nous a permis de "survoler" l'endroit, et les quelques sites que j'ai eu plaisir à découvrir (mon amie Françoise, pour être native d'Angoulême, y était déjà venue à maintes reprises) m'ont convaincues d'y retourner dès que possible pour y continuer tranquillement ma visite interrompue trop rapidement cette fois-ci.

Nous avons démarré notre promenade au centre-ville de Rochefort. Le premier endroit que nous avons croisé sur notre chemin fut l'Eglise Saint-Louis, construite de 1836 à 1838 à l'emplacement d'une ancienne chapelle des Capucins datant de 1672 et dont seul le clocher, édifié en 1768, a été gardé. 

Ce lieu fut pour moi un passage chargé d'émotions. Malheureusement, l'intérieur de cette église nécessite une rénovation urgente ; une attention particulière de la Commission des Monuments Historiques Français serait la bienvenue.

Nous avons continué notre promenade à Rochefort, en nous rendant à la Corderie Royale. Pour l'histoire, devenue ville royale en 1665, Louis XIV qui rêve de régner en maître sur terre comme sur les mers, choisit Rochefort et la Charente, pour y faire construire le plus bel arsenal du royaume dont la Corderie Royale en fera la renommée.

La Corderie Royale, ancienne manufacture de cordage de 374 m de long, est le premier bâtiment de l’Arsenal de Rochefort. Construite entre 1666 et 1669, elle a fourni en cordages la Marine et ses vaisseaux durant trois siècles.

Entre son ouverture en 1666 et sa fermeture définitive en 1927, près de 550 navires de guerre ont été construits à l'Arsenal Maritime de Rochefort.

Le 18ème siècle est une période prospère pour l’Arsenal puisqu’il mettra par exemple à flot l’Hermione le 28 avril 1779 ; frégate qui partira le 20 mars 1790 avec le Général La Fayette pour les Amériques.

La réplique de l’Hermione ne peut être vue actuellement à l'Arsenal de Rochefort, puisqu'en cale sèche dans le port de  Bayonne à Anglet, pour réparations, et ce pour toute l'année 2023.

Monument historique depuis 1976, le Pont Transbordeur, centenaire, permet la traversée de la Charente à pied ou à vélo. Le pont a été construit par l''ingénieur et industriel français Ferdinand Arnodin (1845–1924), contemporain de Gustave Eiffel. Inauguré le 29 juillet 1900, c'est le dernier pont transbordeur en fonction en France. La hauteur du pont transbordeur est de 50 mètres.

Les abords du Pont Transbordeur sont en plein embellissement, mais la visite est possible pendant la durée des travaux.

Une petite trentaine de minutes de route, et nous voilà arrivées à Brouage. cité fortifiée au coeur du marais charentais. 

Cité du nom de Jacopolis-sur-Brouage devenue port de guerre catholique sous Henri III qui le nommera Brouage en 1578, cet ancien port de commerce de sel florissant a cédé aujourd'hui la place à l'ostréiculture. 

Brouage reste également marqué par la vocation militaire voulue par Le Cardinal de Richelieu au 17ème siècle.

Décor à la fois historique et champêtre. J'aime cette apparition au bas du fortin.

Quatrième enfant d’une fratrie de dix, Marie Mancini voit le jour le 28 août 1639 à Rome. Son père, Lorenzo Mancini, est un aristocrate romain qui s’adonne à l’astrologie. Il prédit à sa fille Marie qu’elle causera à l’avenir beaucoup de maux. Sa mère, Girolama Mazarini, n’est autre que la sœur du Cardinal Mazarin, Ministre et diplomate au service des Rois de France.

Premier amour du jeune Louis XIV, c'est à la citadelle de Brouage, en 1659, que le Cardinal Mazarin a fait réfugier Marie Mancini "l'amante royale" pour y cacher son chagrin d'être écartée de la Cour, n'étant pas née de la noblesse française. La séparation fut déchirante entre les deux amants. Pendant plusieurs semaines, les deux amants s’écrivent sans cesse. L’éloignement de son premier amour ayant affaibli le Roi, ce dernier arrive à convaincre sa mère de se rendre à Brouage pour revoir Marie. Cette rencontre est fantastique pour les deux amants, et fait même renaître quelques espoirs ; Louis XIV songeant alors à faire de Marie Mancini sa maîtresse. Finalement Louis XIV se raisonne et accepte d’épouser l’Infante d’Espagne Marie-Thérèse d’Autriche. Mais il n'oubliera jamais totalement Marie Mancini, son premier amour.

Derrière sa ceinture de remparts, les maisons typiques de l'architecture charentaise côtoient halle aux vivres, poudrières, forges et ports souterrains.

Eglise Saint-Pierre et Saint-Paul, Brouage, d'inspiration Renaissance, édifiée en 1608. Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1931.

Le sol est couvert de pierres tombales sous lesquelles reposent de riches négociants en sel du 17ème siècle, des militaires ou d'anciens gouverneurs.


On peut également apercevoir plusieurs vitraux offerts depuis les années 1980 par des villes, des provinces ou des familles canadiennes, en mémoire de Samuel Champlain, le fondateur de la ville de Québec, natif de Brouage.

Construite en 1631, la Halle aux Vivres atteste de l'architecture du grand 17ème siècle. A l’origine, elle servait de grenier à vivres pour ravitailler les troupes et les navires corsaires, militaires ou marchands qui partaient vers l’Europe du nord et les îles d’Amérique. Puis la Halle aux Vivres change d’affectation. Au 18ème siècle, elle devient une caserne. En 1793, pendant la Révolution, elle est transformée en prison et 145 religieuses y sont incarcérées. En 1816, la Halle aux Vivres est transformée en poudrière. L’abandon définitif de Brouage par l’armée en 1885 provoque la vente de la Halle à un particulier.

Il faudra attendre 1967 pour que la commune de Hiers-Brouage puisse réunir la somme nécessaire au rachat des ruines (l’étage ayant été démoli à la fin des années 1920). 

1989 est l'année de démarrage de la restauration du bâtiment.

Amputée des deux-tiers lors de l’élargissement du rempart par Vauban, la Tonnellerie aux allures de Grange paysanne est la première halle aux vivres de la place forte. L'édifice sert ensuite au 19ème siècle de Tonnellerie pour les besoins de la Halle aux Vivres, transformée en poudrière à partir de 1816.

Depuis 2003, la Tonnellerie accueille des expositions temporaires d’artistes contemporains.

Port de guerre au bord de l’océan Atlantique jusqu'au début du 18ème siècle, la commune de Brouage est aujourd’hui à l’intérieur des terres, entourée de marais.

La Presqu'île d'Arvert

Pour notre dernier jour véhiculé, nous sommes parties découvrir la Presqu’île d’Arvert et sa côte de beauté, qui démarre à La Tremblade et s'étend jusqu'à Talmont-sur-Gironde.

Notre premier arrêt fut programmé pour visiter le phare de La Coubre, situé sur la commune de La Tremblade. Nous ne nous attendions pas à découvrir que ce phare se trouve sur une plage immense, de toute beauté, avec un océan dans lequel nous n'avions qu'une envie : nous y baigner. Sans aucune hésitation, après avoir rendu visite au phare, nous nous sommes donc installées pendant deux petites heures sur cette plage superbe.

Le phare de La Coubre est inscrit Monument Historique depuis 2011. 

L'érosion a eu raison de plusieurs phares. Le premier phare en bois a été allumé en 1860. A cause de l'érosion, ce phare a été remplacé, par un deuxième, en pierre, mis en fonctionnement en 1895, et situé à 1,5 km du rivage. Mais seulement 10 années plus tard, il a été nécessaire de remplacer cet édifice par un nouveau phare en béton, mis en fonction en 1905. Construit à 1,8 km du rivage, ce troisième phare est actuellement situé à seulement 150 mètres du trait de côte, ce qui prouve que la nature n'a pas encore dit son dernier mot...

Nommé "le géant trembladais", de 64 mètres de haut, ce patrimoine exceptionnel fait aujourd'hui l'objet d'une préservation importante pour le protéger d'un possible effondrement en raison de cette érosion marine qui persiste encore et toujours.

Que dire de la plage du phare de La Coubre ? Etant située côté Côte Sauvage, elle est réputée pour la violence de son océan. Mais ce jour-là, il était plutôt calme. En fait, la plage est immense, son sable est fin et blond, elle est bordée par de belles dunes dorées, et se trouve en lisière de la forêt de La Tremblade. Lorsque nous sommes arrivées sur la plage, il y avait très peu de monde, et la plage paraissait encore plus immense. Un régal, on avait l'impression d'avoir l'océan rien que pour nous. Impossible de ne pas s'y arrêter et profiter de ce privilège.

Pour accéder à la plage, il faut passer par de belles dunes ; ce ne sont pas celle du Pilat, mais tout de même il fallait les franchir....

Et voici l'océan, et sa plage à perte de vue.

Ce fut un réel plaisir de se prélasser sur cette plage. Aucun bruit de moteurs, notamment ces motocross qui dénaturent totalement l'endroit et que l'on aperçoit de plus en plus malheureusement sur de nombreuses plages. Que le bruit des vagues. Un vrai moment de bonheur. Il faut espérer qu'elle garde son authenticité et ne devienne un énième modèle de plages surpeuplées et bruyantes. 

Après notre moment détente, nous sommes reparties sur la route, pour découvrir les villes et villages avoisinants. Une de nos étapes suivantes fut Saint-Palais-sur-Mer, station balnéaire qui se trouve face à l’océan avec le phare de Cordouan que l'on peut voir au loin.

Saint-Palais est certainement une ville très agréable. Elle reste marquée par la Belle Époque avec de nombreuses villas des années 1900-1920. On peut aussi y admirer les fameux carrelets, cabanes de pêcheurs, les pieds dans l’eau, construites en bois sur pilotis et reliées à la falaise par un ponton.  Les carrelets constituent un élément typique de la carte postale charentaise. La Charente-Maritime en compte près de 400 disséminés, parfois à flanc de falaises, sur l’étendue de son littoral.

Carrelets avec au loin le phare de Cordouan.

Nous avons également fait une halte à Meschers-sur-Gironde, autrefois petit village de pêcheurs, et renommé pour ses habitats troglodytiques. 

La journée est passée trop vite. Royan fut notre dernière étape. 

Au retour, nous nous sommes arrêtées une dernière fois à Ronce-les-Bains, quartier de La Tremblade, pour une dernière et courte flânerie  sur un des nombreux circuits pédestres que propose le bourg. Là aussi, nous avons pu y admirer de belles villas historiques Belle Epoque, que l'on peut apercevoir en bord de mer ou sous les pins, toujours suffisamment bien cachées du public.

La villa Gabrielle, une des plus originales construite en 1893

Voilà une journée de plus qui m'a confortée dans l'idée qu'il faut absolument revenir dans cette belle région, car il reste de nombreux beaux endroits à découvrir. Le projet est en tête, à moi de le réaliser soit sur des durées courtes et par étapes, soit sur une durée suffisamment longue, et explorer ainsi la quantité d'endroits et de paysages encore à découvrir, et apprécier leur beauté.

Avant de vous laisser, une dernière photo prise sur l'île de Ré. De là, un lien vous orientera vers mon escapade de l'année passée sur une des plus attachantes et agréables îles de l'archipel charentais.

https://www.octavie11.fr/le-blog-escapades/l-%C3%AEle-de-r%C3%A9

Merci d'avoir lu cet article. J'espère que vous avez apprécié ce partage. Je vous dis à bientôt.

Christiane Muller

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